Publications

Les publications qui suivent sont des exemples de recherches rendues possibles grâce aux données de CanPath et de ses cohortes régionales.

2020

Combinations of modifiable lifestyle behaviours in relation to colorectal cancer risk in Alberta’s Tomorrow Project

Auteurs : Dylan E. O’Sullivan, Amy Metcalfe, Troy W. R. Hillier, Will D. King, Sangmin Lee, Joy Pader, Darren R. Brenner

Les chercheurs ont tenté d’identifier des groupes distincts d’individus qui présentent des modèles uniques de comportements modifiables en lien avec le mode de vie et à déterminer comment ces modèles sont associés au risque de contracter un cancer colorectal. L’équipe a identifié 7 comportements uniques où le risque de cancer était de 2,34 à 2,87 fois plus élevé parmi les groupes à haut risque que parmi les groupes à faible risque.

Lire la publication
2015

Comparison of the Effect of Thiazide Diuretics and Other Antihypertensive Drugs on Central Blood Pressure: Cross‐Sectional Analysis Among Nondiabetic Patients

Auteurs : Cristiano S. Moura, Stella S. Daskalopoulou, Linda E. Levesque, Sasha Bernatsky, Michal Abrahamowicz, Meytal A. Tsadok, Shadi Rajabi, Louise Pilote

Cette étude a utilisé les données de CARTaGENE pour déterminer la non-infériorité des diurétiques thiazidiques (DT) par rapport à différentes classes de médicaments antihypertenseurs au niveau de la pression artérielle centrale. Aucune différence majeure n’a été relevée et il a été démontré que les DT sont au moins aussi efficaces que les autres médicaments de première ligne disponibles.

Lire la publication
2007

Factors related to use of prostate cancer screening: the Alberta Tomorrow Project

Auteurs : Harriet Richardson, Kristan Aronson, Alison James, Elizabeth McGregor, Heather Bryant

Les auteurs voulaient préciser les facteurs liés à l’APS (antigène prostate-spécifique) chez les hommes asymptomatiques de plus de 50 ans. L’étude a examiné 11 000 participants et révélé que 50 % du groupe d’étude avait passé un ou plusieurs tests au cours de leur vie. 58 % d’entre eux étaient asymptomatiques au moment où ils ont passé leur dernier test. L’étude a conclu que plus d’hommes passent le test d’APS, ce qui montre qu’il y a d’autres facteurs que les symptômes qui incitent les hommes à se soumettre à ce test.

Lire la publication